Livres roman

J’ai lu : The Goose Game de Melie Sand

Une histoire palpitante qui garde en haleine jusqu’à la fin…

Résumé :

Quand Émilie et ses quatre amis reçoivent une invitation pour participer au Goose Game, ils ne savent pas que ce jeu grandeur nature est en réalité orchestré par un malade assoiffé de vengeance. Ils s’inscrivent en pensant comme beaucoup de leurs camarades vivre une aventure unique, une expérience palpitante… Mais très vite, les défis s’enchaînent. Tous plus étranges les uns que les autres. Quelqu’un les épie pour transformer l’expérience en véritables challenges destinés à les piéger. Le mystère s’épaissit, la tension s’installe et les adolescents ne voudront bientôt plus jouer… Ils vont pourtant apprendre à leur dépens qu’une fois la partie commencée, rien ne peut l’arrêter… Tout manquement à la règle entraîne des sanctions. Le Goose Game est le seul maître du jeu.

Avis :

Je suis dans une période où je n’ai pas trop envie de lire… La fatigue, la fin d’année, le boulot… Tout se cumule et en rentrant je n’ai qu’une envie m’effondrer pour dormir ou regarder une bonne série…

« The Goose Game » a réussi à me sortir de ma léthargie et j’ai dévoré le livre. L’avantage du dématérialisé c’est qu’on peut lire partout… Pause repas au boulot, dans une salle d’attente… Oui c’est dans ces lieux que j’ai avalé les chapitres et que j’ai suivi les aventures terrifiantes de cette bande d’amis.

Et sinon ce livre il donne quoi ? Et bien il est très bon, prenant, captivant…

Imaginez un jeu taille réelle du type télé réalité. Quand vous validez votre participation à ce jeu de l’oie géant, vous ne pouvez plus revenir en arrière et vous devez exécuter les actions qui vous sont allouées par les cases. Sinon la sentence tombera. C’est un jeu de hasard avec un tirage de dés non maîtrisé qui fait fureur chez les ados. Mais c’est aussi un jeu que seul un inconnu maîtrise… Flippant non ?

Ce coup-ci c’est un groupe d’amis complet qui est désigné pour jouer. Vont-ils tous accepter de se prêter au jeu sachant qu’il faut réviser intensivement pour les examens à venir ? Oui certainement, c’est le jeu à la mode, et on ne peut pas refuser une invitation comme celle ci… et tout ceux qui l’ont tenté ont adoré…

Et le jeu va débuter pour nos amis Emma, Émilie, Sisie, Lucas, Alex et Camille. Dès le premier lancé de dés c’est la panique. Le jeu va mettre les nerfs à rude épreuve. Ce jeu va révéler des aspects inconnus de chacun. Mais qui est derrière tout ça ? Qui tient les rennes de ce jeu ? Que veut-il ? Pourquoi les règles ont tout à coup changées entraînant ces jeunes dans une spirale infernale ? Vont-ils tous mourrir ?

Un grand bravo à Melie Sand, car elle su me berner du début à la fin. On accuse chacun des amis, on imagine un tiers être à l’origine de ce jeu, on ne pense pas aux histoires qu’ont déjà pu vivre ces jeunes, ni aux cachotteries ou aux non dits… L’histoire est recherchée, travaillée. Tout est fait pour nous troubler, nous stresser… Mon esprit a été embrouillé, manipulé ! Et jusqu’à la fin je n’ai pas trouvé l’instigateur de ce jeu terrible. Chaque personnage à quelque chose à cacher, chacun d’entre eux va se révéler aux autres sous un jour inconnu. Tous peuvent être le maître du jeu…

On découvre les personnages un à un, on découvre aussi leurs pensées. C’est une lecture à plusieurs voix vraiment agréable, aérée. La plume est simple, dynamique et elle nous entraîne dans une spirale infernale dont certains ne sortiront pas vivants… le suspense est présent à tous les instants, chaque protagoniste va vivre sa propre aventure. Chacun sera terrifié devant la violence des épreuves. Est-ce l’amitié et l’amour seront plus forts ?

Alors entre énigmes, indices, peurs, morts… Arriverez-vous à découvrir qui tient les ficelles de cette machine diabolique avant le dénouement de la histoire ?

La vengeance est-elle un plat qui se mange froid ? En attendant, si Melie Sand vous invite à jouer au jeu de l’oie, refusez, fuyez car vous ne savez pas ce qu’elle a concocté pour vous….


Service presse envoyé par les Éditions Heartless pour la réalisation de cette chronique

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