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J’ai écouté : Le chat du Dalaï Lama de David Michie

Résumé :

Un chaton famélique est arraché des bidonvilles pour être transporté vers un somptueux sanctuaire par nul autre que le dalaï-lama. Ses yeux bleus, saisissants, découvriront bientôt tout de la vie du grand maître bouddhiste: une sagesse éternelle qui ne se révèle que dans les moments de grande tranquillité entre l’homme et l’animal. Vous suivrez le chat de Sa Sainteté tandis qu’il se frotte contre les vedettes de Hollywood, qu’il enseigne aux pieds des maîtres tibétains, et qu’il apprend ce qu’est la vie d’un bodhisattva au XXIe siècle. Vous comprendrez aussi pourquoi le statut de félin offre un point de vue unique sur la fragilité et la beauté qui résident en chaque être humain. Le chat du dalaï-lama est léger et amusant, mais renferme aussi des leçons spirituelles qui ne manqueront pas d’alimenter votre curiosité et votre réflexion.

Avis :

Je me suis vraiment ennuyée avec « Le chat du Dalaï lama » de David Michie. Mais vraiment…

J’imaginais vraiment que ce livre offrait des clés de développement personnel sous forme romancée et donc que j’avais un lien vers plus léger entre les mains. Si on peut en trouver disséminées ici et là, le contenu reste assez plat et des longueurs rendent la lecture/l’écoute lourde.

Pourtant j’aime l’idée de ce petit chat qui va vivre une vie extraordinaire auprès du Dalaï Lama. J’aime cette idée de livre qui doit apporter de la quiétude aux lecteurs. J’aimais cette idée de lecture…

Pourtant, même si il y a de beaux messages sur l’amour et la tolérance, la compassion et le pardon, je n’ai pas apprécié… Non, vraiment, rien n’y a fait, je n’ai pas accroché et il me tardait de terminer de lire ce livre.

Avec cette oeuvre on découvre les grandes lignes d’un courant à la « mode » ?, d’un courant qui permet d’apporter la « paix » ?, d’un courant qui amène « un sens de vie » ?

Je ne vous parle pas des fautes de français qui apportent un inconfort de lecture : « N’est-il pas vrai que, de temps en temps, vous éprouvez un souci excessif quant à la façon dont vous vos vêtements aux autres ?« … Oui c’est dérangeant… si je vous en parle ? Et bien pour faire court, il y en a beaucoup et un peu partout. On peut comprendre le sens des phrases, mais lorsque l’on achète un livre, on apprécie qu’il y ait le moins de défauts possibles. Je vous vois déjà derrière vos écrans, me râler dessus en disant que je fais aussi des fautes… Je n’ai pas de relecteur. Et même si on lit et relis, on ne voit plus ses propres fautes tellement on s’y complaît dedans.

Sinon, « Le chat du Dalaï lama » offre une belle vue de la vie au Tibet au XXIème siècle. Et même là bas, la cruauté à sa place. Il suffit de voir comment aurait pu finir ce pauvre chat si il n’avait pas été sauvé…

Oui, on peut trouver des pistes de réflexions avec ce livre, oui, on peut passer un bon moment (léger) de lecture, mais à aucun moment je n’ai plongé corps et âmes dans cette lecture un peu bancale à mon sens.

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0 commentaire

  1. Dommage parce que c’était tentant mais les fautes, c’est rédhibitoire pour moi surtout dans ce genre de livres où le choix des mots a son importance…

    1. Angel a dit :

      Mais carrément. Fautes et erreurs de traduction… après tu ne loupes rien. L’histoire est assez plate.

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