Résumé : « Lorsque nous avons emménagé impasse des Colibris, nous avions vingt ans, ça sentait la peinture fraîche et les projets, nous nous prêtions main-forte entre voisins en traversant les jardins non clôturés. Soixante-trois ans plus tard, les haies ont poussé, nos souvenirs sont accrochés aux murs et nous ne nous adressons la parole …
![](https://i0.wp.com/raoulzecat.fr/wp-content/uploads/2020/05/img20200528135553-1-scaled.jpg?resize=450%2C300&ssl=1)