Résumé :
Nanami Takahashi arrive pour son premier jour au lycée. Ne connaissant personne, elle souhaite se faire au plus vite de nouvelles amies. Pour cela, elle participe aux discussions qui se centrent toutes autour d’un jeune homme, Yano Motoharu. Élève doué, beau, toujours souriant, il est la coqueluche des femmes comme des hommes. Mais derrière ce masque se cache un passé qu’il cherche à oublier, une blessure qu’il ne veut pas exposer. Nana est-elle prête à accepter le garçon qu’il est vraiment ?
Avis :
Bon on va pas tourner autour du pot, mais la traduction par moment laisse vraiment à désirer. Je me suis demandée à plusieurs reprises si mon cerveau ne c’était pas mis en veille et que c’est pour ça que je ne comprenais certains passages, que j’ai lu et relu, pour être bien sûre que l’anomalie ne venait pas de moi.
Me voilà rassurée, c’est bien le bouquin qui bugue.
C’est bien dommage, parce que ce Shojo est tout choupi. Ouais j’ai craqué sur le dessin tout simple et dépouillé. J’adore les visages des personnages surtout les yeux. Un peu de douceur dans un monde de brutes… Ça fait du bien en ces temps obscurs ! Les personnages sont assez détachés, mais authentiques, ils sont humains sans le côté sombre.
C’est frais, c’est léger, c’est bourré d’humanité parfait pour les personnes fleurs bleues.
L’histoire même si elle est douce est entachée par un drame qui a eu lieu il y a quelques temps. Le sujet est abordé délicatement et on comprend pourquoi certains personnages ont un air mélancolique.
Un petit manga tout doux, sans violence.