Résumé :
Sôma a grandi dans les cuisines du restaurant familial et se prépare depuis toujours à prendre la succession. Mais son quotidien est bouleversé quand son père accepte un poste dans un palace new-yorkais. Le jeune garçon est alors envoyé dans une prestigieuse école culinaire. Bien décidé à ne pas décevoir sa famille, Sôma devra rivaliser de génie pour s’imposer parmi les meilleurs espoirs.
Avis :
Belle découverte que ce manga culinaire plein d’humour.
« Food Wars ! » C’est l’histoire de Sôma qui veut devenir aussi bon que son père en cuisine. Pour cela il n’hésite pas à tester des recettes plus horribles les unes que les autres et de se mesurer à son paternel. Son but est de reprendre le restaurant familial qui est menacé par une entreprise immobilière. Il veut sauver ce restaurant et met tout en œuvre pour y arriver mais son père le ferme quelques temps pour aller exercer son art dans des restaurants de luxes. A côté de ça il défi son fils de devenir aussi bon que lui en le faisant intégrer une école qui forme les meilleurs cuisiniers. Mais l’entrée se fait sur admission et la belle Erina Nakiri ne voit pas ce personnage qui n’est pas issu d’une riche famille d’un bon oeil et lui refuse même le droit d’intégrer l’école. Mais il pourra quand même l’intégrer. Mais son comportement va en agacer plus d’un.
Ici, juste des combats culinaires. Des combats à coup de recettes de cuisine. Des coups de palais délicats.
Ce qui est intéressant c’est le côté humoristique et le personnage de Sôma qui est tenace, mais un poil arrogant. Un personnage qui énerve, mais que l’on apprécie grandement. Il en veut et il n’a pas peur de tester des recettes qui doivent être sacrément infectes. Mais à côté de ça, c’est un cuisinier hors pair qui n’a pas peur de se mesurer aux plus grands.
Le dessin est sympa, pas trop chargé. Ce manga nous propose des recettes (à essayer ?). L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard (laqué ?), Mais elle peut intéresser les fans de l’époque des dessins animés de notre enfance comme « Le petit chef » par son côté acharné. Les ‘heros’ ne baissent pas les bras et sont des exemples à suivre…
