To hell with the ugly
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News JV : To Hell With the Ugly est disponible dès maintenant

Les développeurs de La Poule Noire et ARTE France, coproducteur et éditeur, sont heureux d’annoncer que To Hell With the Ugly est disponible sur Steam, GoG, PS4/5, Switch et Xbox S/X au prix de 19.99 €. Imaginé avec La Poule Noire, le seizième jeu vidéo coproduit par ARTE adapte le roman de Boris Vian, Et on tuera tous les affreux, qui mêle meurtre, enquête et humour.

To Hell With the Ugly est un jeu d’aventure qui suit l’histoire de Rock Bailey, un jeune homme dont la seule qualité est son physique remarquable. Alors qu’il est mystérieusement kidnappé et torturé à la sortie d’un club de jazz, il entreprend de découvrir la vérité sur son enlèvement. Les joueurs devront explorer les recoins les plus sombres de la Cité des Anges des années 50, recueillir des indices en interrogeant les habitants et interagir avec l’environnement. Mais parfois, le seul moyen d’obtenir les informations est de sortir ses poings.

Provocateur et burlesque, To Hell With the Ugly parodie des romans noirs américains et navigue entre le polar et le roman d’anticipation. Il dénonce le culte des apparences à travers un héros sublime et une clinique aux pratiques eugénistes. L’opportunité d’adapter cette parodie des romans noirs américains a séduit La Poule Noire. Dans la lignée du livre, écrit à la première personne, le jeu propose d’incarner Rocky, « un personnage aux motivations et au comportement douteux… ». Détective, mais aussi bagarreur, le héros devra livrer de nombreux combats contre différents adversaires qui se dressent sur sa route.

« Comme le roman avance à cent à l’heure, j’ai voulu proposer plusieurs situations qui donnent ce sentiment de fuite », explique Fiona Rosette. Enquête, combats de rue, courses-poursuites : tous les ingrédients sont réunis pour recréer la vision du Los Angeles de Boris Vian.

Osant l’anachronisme, la bande-son emprunte aussi bien à celle d’Hitchcock qu’à celle de De Palma. « Nous ne voulions pas un son fidèle à l’époque, mais plutôt un mélange de références : le jazz des années 1950 et 1960, les bandes originales de films noirs des années 1960 et 1980, avec une petite touche de rock », explique Clément Duquesne, sound designer.

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