Cela fait quelques années maintenant que je connais Pierre Commeine, auteur axonais (édité chez A contresens Éditions), qui nous offre des romans historiques de grande intensité (« L’oubliée de Monterfil » m’a fait pleurer).
J’ai participé à deux sorties de ses écrits, et c’est avec un grand plaisir que ce soir, je me suis rendue à Margival (02) pour la présentation de « Les temps Pastel« , 7ème roman de Pierre. Notons que l’an dernier, « Léo Kyle » est sorti dans la plus stricte intimité, covid oblige…
C’est dans la petite église de Margival, pleine à craquer (dans le respect des gestes barrières) que la présentation s’est déroulée. Pierre nous a parlé de son roman avec passion avant de nous passer un petit diaporama avec photos et textes, un peu comme un film muet. Pour vous donner quelques indices, il nous parlé du salon Kitty, de Raymond Aimos (Le quai des brumes, La belle équipe avec Jean Gabin), mai 68… Quelques indices épars en effet, pour vous situer le livre et l’histoire. Rien ne remplacera une vraie lecture…
En attendant, de quoi mettre l’eau à la bouche à ses lecteurs ! Nous nous baladons dans les années 1956-1960 avec Cécile et Benoît. L’histoire se passe sur Terny et Soissons. De belles photos d’époque agrémentent à merveille, les photos de Pierre, homme aux multiples talents ! Car oui, Pierre est aussi un photographe aguerri, qui a besoin d’un visage pour ses personnages. Nous découvrons donc celle qui sera « sa » Cécile, et ce sera après lecture de son ouvrage que nous pourrons totalement apprécier ce choix.
Juste après la présentation et une séance de questions, Pierre s’est prêté au jeu des dédicaces, et je peux vous assurer que la file était longue ce soir. Normal lorsque l’on sait fidéliser ses lecteurs me direz vous. Je suis sûre que les discussions vont trainer autour d’un verre offert à l’issue de cet événement. Je n’ai pas pu rester, la journée ayant été longue et la fatigue bien présente, mais je suis sûre de vite retrouver Pierre sur un salon ou dans un lieu insolite très prochainement.
Encore une fois, cher Pierre, merci de ta gentillesse et disponibilité.
