Enregistré aux Trident Studios de Londres en 1999, le quatrième album de Moonspell, The Butterfly Effect, a vu le groupe suivre des voies plus expérimentales après leurs débuts percutants dans le métal gothique.
Influencé par les éléments industriels des années 90, cette album des pionniers portugais captive avec des guitares envoûtantes, un voile électronique de synthés fantomatiques et le concept de la théorie du chaos, proclamant que même les plus petits événements de la vie peuvent conduire à d’énormes conséquences.
Alors que le « Can’t Bee » sinistre et hypnotise avec des éléments électroniques de trip hop, la voix de Fernando Ribeiro monte dans une tempête agressive forgeant les hymnes de Dark Metal tels que « Lustmord » et « Angelizer », et transforme cet album définitif en un mélange dynamique de différents genres. Avec The Butterfly Effect, Moonspell a livré certaines des chansons les plus emblématiques et avant gardistes de leur carrière.
Enfin disponible dans un nouveau format, digipak, vinyl et même cassette, The Butterfly Effect sortira le 7 août 2020 via Napalm Records! De plus, cette réédition comprendra deux nouveaux remixes, une pochette et une mise en page entièrement repensées, ainsi qu’un extrait exclusif du chapitre Butterfly FX de la biographie officielle du groupe, «Wolves Who Were Men».
The Butterfly Effect Tracklisting:
01. Soulsick
02. Butterfly FX
03. Can’t Bee
04. Lustmord
05. Selfabuse
06. I Am The Eternal Spectator
07. Solitary Vice
08. Dissapear Here
09. Adaptables
10. Angelizer
11. Tired
12. K
+ 7″ Vinyl Bonus Tracks:
13. Never Stop to Hurt You (Lustmord Remix by Pedro Paixão)
14. Angelized (Angelizer Remix by Pedro Paixão)
Le leader Fernando Ribeiro commente:
«The Butterfly Effect est notre album le plus excentrique et le plus scandaleux de tous les temps. Nous n’avons jamais vraiment connu la profondeur de l’amour et de la haine envers lui à l’époque, car notre esprit était tendu et ouvert à des extensions auxquelles ni nous ni nos fans ne penserions. Donc, en le rééditant et en le recréant, il apporte cette collection de chansons inhabituelle, inspirée de la culture Beatnik, de l’électronique et de l’apocalypse technologique, sous un éclairage différent. Avec le monde devenu viral, la notion de papillon qui bat ses petites ailes à l’Est, provoquant un violent tremblement de terre à l’Ouest, n’a jamais été aussi précise, ce qui donne à notre extravagance de 1999 un sens et une portée renouvelés. Tout est partout, l’effet papillon. »
