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J’ai lu : Une fille comme elle de Marc Levy

Résumé :

New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres…
Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.

Entrez au N°12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer… dans la plus délicieuse des comédies new-yorkaises !

Avis :

Je ne suis pas vraiment emballée par « Une fille comme elle » de Marc Levy. Pourtant c’était prometteur. Rien que la couverture était alléchante avec ses superbes couleurs tape à l’oeil. Et le résumé laissait présager une excellente lecture pleine de rebondissements.

Des rebondissements il y en a… A la fin. Oui va falloir attendre longtempssssss… trop longtemps…

Les personnages… au début j’étais perdue. Mais on se prend quand même rapidement d’amitié pour ces êtres emplis de bonnes intentions, surtout de la délicate Chloé et son fauteuil roulant, mais surtout son humour un peu noir.

En général j’apprécie vraiment les romans tranche de vie. Puis ce couple d’immigré indien avait tout pour plaire. Cette Chloé éconduire avait tout pour nous faire pleurer, nous faire vibrer. Puis le métier de Deepak aurait pu nous plonger dans un monde totalement oublié, celui des liftiers, ces hommes conducteurs d’ascenseurs.

Au final il manque l’étincelle, le petit truc qui fait que… J’ai trouvé ce livre plat, quelque peu ennuyeux et longuet. Il y a un manque flagrant de profondeur. C’est dommage car le fond y est, mais il manque la forme.

Un peu trop simple, mais reposant pour nos esprits en surchauffe. On peut peser le pour et le contre. C’est vrai qu’on est tellement habitués à des livres plein… Plein de tout. Plein de sentiments, plein d’enseignements, plein quoi… On se sent floués face à ce livre sans réelles oscillations, et pourtant, pendant ce temps notre esprit s’est reposé. Il en avait bien besoin non ?

Je reste donc en demi teinte face à « Une fille comme elle » parce que malgré ses défauts l’histoire m’a touchée, même si je ne la trouve pas à la hauteur d’autres écrits de Levy.

C’est le style de livre duquel il ne faut rien attendre pour éviter d’être vraiment déçus !

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